Retour dificile. [Libre]

Caroline visitait les différents endroit de ce lieu où maintenant, c'était chez elle. Ces chevaux aus reflets roux, virvoltaient sous la brise et brillait sous les rayons, chaud, du soleil. Elle n'avait pas croisait grand monde dans cet endroit qui parraissait si vaste. Elle était encore loin, très loin, d'avoir tout visité.
Elle marchait tranquillement sur le bord d'une route, rêvant de tout et de rien. Caro fut vite hors de ces pensées quand une voiture, attelé d'un van était passé tout près d'elle. C'était à peine si il ne l'avait pas touché. Elle me dit rien ; à quoi bon, après tout il ne l'entanderait pas, avec sa voix douce et frêle. Mais elle leva la tête en entendissant des hénissemant de cheval. Il semblait bien en colère dans cette boîte de conserve. Il y avait de quoi, rien de plus pire que d'être enfermé ! Elle avait enclanché l'allure supérieur et courait après le véhicule. Bien qu'il roulait assez vite, elle le vit tourner à sa droite.
Arrivé à l'intersection, elle pris le petit chemin et courait encore. Puis, elle freina en appercevant la voiture à gauche, garé dans un dans un manège. Caroline se cacha dans les arbres pour espionner les gens sortient du véhicule. Ils parraissaient avoir du mal à contrôler l'animal. Ensuite, ils avaient enfin ouvert la porte à cet pauvre bête. Il sortit d'un coup, respirant l'air à pleins naseaux. Les personnes refermèrent la porte du manège et partit à toute allures. La jeune femme sortit de sa cachette et elle se dirigea vers l'endroit où se trouvait l'équidé. Elle s'adossa sur la barrière hors du manège. Elle admira le bel étalon courrir. Il semblait fier. Puis il se cabra, courrut un peu partout jusqu'au moment où la fatigue était arrivé. Il s'était stoppait, regadant autour de lui. Caroline ne bougeait pas. Avait-il remarqué sa présence ? Elle attendait, toujours au même endroit mais elle c'était un peu redirait de la barrière au cas où l'entier ne lui fasse un mauvais. Elle s'était assez reculé pour être hors d'atteinte de l'équidé...

Caroline vit l'étalon s'approcher d'elle de manière écontraqueté et calme. Enfin, c'est que pensait l'humaine. A quelques mètres de la haute barrière blanche du manège, Caro était droite et raide. De son côté l'équidé aussi n'avait pas approché trop prêt de la barrière. Puis l'entier repartit au plein galop, se fichant de sa fatigue. La jeune femme se rapprocha du manège et s'assit dessus, les pieds à l'intérieur du lieu où se trouvait le cheval. Puis elle eu, soudenement une idée. Elle partit, laissant l'équidé tout seul. Se sentirait-il abandonné ou alors n'appaissevrait-il pas l'absence de l'humaine ?
Elle était partit sur le route et tourna dans un champs remplie d'herbe bien grasse et de trèfles appétissant. Les chevaux de l'ancien club de Caro adoraient le trèfles. En serait-il pareil pour cet entier ? Ramassant le plus d'herbes et de trèfles possible, elle retourna vers le manège. Son allure n'était pas forcement rapide, ni lente, d'ailleur. Juste normal. Elle apperçu enfin l'étalon. S'approchant doucement de la barrière, elle posa son ras de végétation à terre. Elle prit une petite poigné et la tenda à l'étalon. Espèrant qu'il l'a prenne, elle attendait calmement l'équidé...

Caroline attendait toujours devant l'entrée du manège. L'étalon avait bel et bien approché. Il avait même reniflé l'herbe et les trèfles qu'elle avait emmené pour lui. Mais il n'en avait pris aucun. Ni trèfles, ni herbes ! Peut être n'aimait-il pas cela. Caro décida de voir si c'était vrai ou pas. Elle prit une plus grosse touffe d'herbes et la lança par dessus la barrière, le plus loin possible pour ne pas que l'entier est à trop s'approcher d'elle. Il semblait méfiant envers l'humaine et Caroline ne voulait pas trop forcer ou précipiter le bel équidé.
Le soleil brillait de milles feux, et les nuages étaient rare dans le ciel azur. Elle s'éloigna de quelques pas du manège pour ne pas que l'étalon ne se sente trop observé. Elle s'assit tranquillement dans l'herbe chauffé par le soleil. Sans faire de mouvement brusque, elle s'allogea doucement et admira le ciel, rêvant d'un cheval dont leur complicité et amitié ne pourrait jamais être brissé.
D'un oeil curieux mais pas de trop, Caroline regardait si l'étalon avait mangé l'herbe qu'elle lui avait donné...

Caroline attendait au soleil, en regardant de temps à autres l’étalon. Elle regardait les réactions de l’équidé. Le soleil jaune, éblouissait les yeux clair de la jeune femme. Elle reposa sa tête par terre, et réfléchissait à se qu’elle devait faire. Devait-elle se mettre debout, pour mieux voir l’entier et peut être lui faire peur ! Ou alors, rester encore un petit moment allongé, le temps que le cheval se calme et prenne confiance ! Caro décida de ne pas trop brusquer les choses et d’attendre un peu au soleil, même si elle ne voyait pas grand-chose. Les minutes passaient, lentement, les unes après les autres. Caroline essayait désespérément de se concentrer sur les plus petits bruits, œil fermé et grand vite dans la tête, tentant d’analyser quand elle devrait se relever. Après un certain temps passé à griller au soleil, elle perçu le bruit d’un hennissement, il semblait être incertains, et timide. Caro se redressa doucement, elle n’était pas debout mais juste assise. Elle étudia la situation avant de se lever complètement. Ses gestes étaient des plus souples et délicat afin de ne pas effrayer l’étalon. Ebahie par ce moment, la jeune femme était restée un moment sans bouger avant de faire deux, trois pas et d’être elle aussi à quelques mètres de la barrière. Elle ne savait vraiment pas quoi faire. Elle avait envie de faire connaissance avec ce cheval, comme avec tous les autres qui étaient ici, mais il ne fallait mieux pas trop bousculer les choses. Caroline était donc resté en retrait, à quelques mètres de la barrière. De ses yeux doux et interrogateur, Caroline Observait l’étalon d’un regard profond et attendait de voir si celui-ci accepterait qu’elle s’approche plus ou pas ?